Situation des migrants

La famille Kalambayi est menacée d’expulsion. Leurs amis, leurs professeurs et leur club de football se sont mobilisés et Jiesi et Shekina, les deux enfants, ont désormais deux parrains.
Voir Presse-Océan

Nous demandons que la ville de Saint-Nazaire prenne sous sa protection les familles déboutées du droit d’asile, prenne un arrêté anti-expulsions, ouvre de nouveaux logements d’urgence.
Nous appelons à porter cette exigence en conseil municipal, vendredi 20 décembre à 10 heures.
Ouest-France
l’Écho de la Presqu’île

TROIS FAMILLES de Saint-Nazaire,
déboutées du Droit d’Asile, sont MENACÉES
d’être expulsées de leur logement avant fin décembre.
RASSEMBLEMENT
MERCREDI 11 DÉCEMBRE
15 h 45, ARRÊT DE BUS DEVANT LA MAIRIE
annonce sur Démosphère 44
Et une vidéo plus complète : ici
l’Echo de la Presqu’île 12 décembre

Lettre ouverte à Monsieur le Préfet de la Loire Atlantique s/c Monsieur le Sous-Préfet de Saint-Nazaire
Objet : situation de familles étrangères hébergées à Saint-Nazaire
Monsieur le Préfet,
Une vingtaine de familles étrangères, hébergées à Saint-Nazaire dans des CADA sont en danger de se trouver à la rue, et cela dans les jours qui viennent pour au moins trois d’entre elles. Malgré des courriers qu’elles vous ont adressés pour indiquer la vulnérabilité de leur situation en attente (…)

MIGRANTeS : Pas de rafles, ni d’expulsion à Saint-Nazaire, ni ailleurs… Ce qui s’est passé dans la nuit du 3 au 4 octobre sur Rennes et sa région envers des demandeurs d’asile d’origine georgienne, s’apparente à une rafle. 33 familles ont été violemment arrachées à la vie qu’elles tentaient de construire ici pour être jetées dans un charter, reconduites vers un pays qu’ils et elles avaient fui. A Saint-Nazaire, le collectif UCIJ dénonce l’accélération des procédures administratives et la (…)

L’UCIJ a adressé une lettre aux élus municipaux leur demandant de faire respecter les droits fondamentaux, notamment le droit au logement pour tous et la cantine gratuite pour les enfants de familles sans ressource.

Le collectif Uni.e.s Contre une Immigration Jetable a alerté les nazairien.ne.s et leurs élus sur la situation des familles déboutées du droit d’asile et en danger de se retrouver à la rue, dans la plus grande précarité, en vertu d’une logique injuste et cruelle.